Vous voulez manger comme les gens du pays et découvrir des spécialités culinaires lors de votre voyage au Québec ? Goûter des mets typiques et savourer de bons p’tits plats de chez nous ?
Si vous êtes comme de nombreux voyageurs, curieux et avides de découvrir une partie de la culture du pays à travers sa gastronomie, vous pouvez commencer à vous pourlécher les babines et déplier votre serviette. Je vous invite à partager un moment gourmand avec ces spécialités culinaires du Québec.
À table !
1. La poutine

Poutine de chez La Banquise
Et voici la starlette de notre manger populaire ! La poutine est connue mondialement (vous l’ignoriez ?). Elle vient du Québec et plusieurs villages en revendiquent la paternité. C’est une spécialité tellement appréciée qu’il y a même un festival de la poutine chaque année à Drummondville. Une starlette, j’vous dis.
Petite description pour vous mettre l’eau à la bouche…
On prend des frites « maison », plutôt dodues et croustillantes, on parachute du fromage en grains, frais du jour, et enfin, ô apothéose, on recouvre copieusement le tout d’une sauce brune. Les petites « crottes » de fromage fondent en se mélangeant aux frites qui elles-mêmes ramollissent sérieusement sous l’effet de la sauce chaude.
Au final, ça donne une de ces mixtures qui vous collent à votre chaise, et qui font pleurer votre balance. Mais pour survivre à l’hiver, la poutine n’est-elle pas recommandée de temps en temps ? (ou comment ne pas culpabiliser quand on habite un pays froid…).
Fait intéressant, cette spécialité québécoise a aussi sa version haut de gamme. Martin Picard, célèbre chef montréalais du restaurant Au Pied de Cochon, a revisité la poutine pour l’élever au rang de plat gastronomique. En prenant des ingrédients comme du foie gras, une sauce digne d’un chef et des frites à tomber dans les pommes (de terre), il a fait de la poutine une grande Star.
Où manger une bonne poutine ?
A Montréal : La Banquise (plus de 30 sortes de poutines !)
A l’île d’Orléans (15 min de Québec) : La Roulotte du Coin, au village de Ste-Famille, 2875 chemin royal. Petit casse-croûte sympa dédié aux produits du canard. Les frites sont cuites dans le gras de canard…
2. Le pâté chinois
Voilà un autre plat simple et réconfortant. Qui n’a jamais mangé un pâté chinois cuisiné par sa maman ou sa grand-maman ?
Important, pour la disposition des ingrédients, il y a un ordre à respecter : steak, blé d’Inde, patates ! Dans cet ordre, et seulement dans cet ordre. (c’est dans un épisode de la mythique série télé La P’tite vie que l’ordre des ingrédients est révélé… Steak, blé d’Inde, patates !
Précisions : le steak, c’est du boeuf haché. Le blé d’Inde, c’est du maïs (ben oui, que voulez-vous, quand on a découvert l’Amérique, on pensait que c’était les Indes, d’où le nom). Pour les patates, c’est sous la forme de purée ou « patates pilées », comme on dit chez nous.
Au final, ça ressemble au hachis parmentier. Mais en y ajoutant le maïs, on change le goût, la texture, la couleur. Pour une expérience complète, le pâté chinois est accompagné d’un ketchup maison (bien meilleur que le ketchup industriel…)
Même si l’origine du nom n’est pas établie avec certitude, le pâté chinois est bien ancré dans la tradition culinaire familiale québécoise. D’ailleurs, n’a-t-il pas été déclaré mets national par le respectable journal Le Devoir en 2007 ?
Où manger un pâté chinois ?
Trouvez-vous un ami québécois et faites-vous inviter chez lui ou chez sa maman. C’est vraiment le mieux ;-). Si vous ne trouvez pas, à Montréal, au restaurant Mâche, 1655 rue St-Denis (au coeur du quartier Latin).
3. Les fèves au lard

Fèves au lard au restaurant Aux Anciens Canadiens
Les fèves au lard, qu’on appelle aussi les bines (de l’anglais beans), sont des haricots noirs ou blancs. Ajouter des morceaux de lard, de la mélasse ou du sirop d’érable pour la petite saveur sucrée qui rend les fèves irrésistibles, de l’oignon, et des herbes. On cuit doucement au four pendant de longues heures… (encore un peu), et le résultat est toujours délicieux, réconfortant.
Présentes depuis le début de la colonie, les fèves au lard, riches et caloriques, ont nourri des générations d’hommes qui travaillaient dur à bâtir le pays : coureurs des bois, voyageurs, trappeurs, explorateurs, bûcherons….
Où manger des fèves au lard ?
On les retrouve dans tous les menus de petit-déjeuner américain (ou presque), ainsi que dans le repas traditionnel de cabane à sucre.
A Montréal : Restaurant Mâche, 1655 rue St-Denis (au coeur du quartier Latin)
A Montréal : La Binerie Mont-Royal, 367 avenue Mont-Royal Est
4. La tourtière
Un des plats traditionnels les plus populaires du Québec. C’est la bonne cuisine réconfortante de grand-maman, celle qui vous réchauffe le coeur et les entrailles. C’est le plat typique du temps des fêtes, à partager en famille et avec les amis.
Certains disent qu’il existe plusieurs recettes, alors que d’autres affirment qu’il n’y en a qu’une : la tourtière du Lac St-Jean. Bien qu’elle soit la meilleure (j’ai beaucoup d’amis au Lac St-Jean…), vos papilles se délecteront de plaisir avec ses moult variantes.
La tourtière est un genre de tarte fermée (pâte qui fait un chapeau), fourrée avec un mélange de plusieurs viandes comme du boeuf, du porc et du veau. Pour une tourtière plus corsée, on y met de la viande de gibier (cerf, wapiti, lièvre, perdrix). Des herbes, quelques épices et du savoir-faire.
Où manger une tourtière ?
Au Lac St-Jean naturellement. Mais aussi dans certains restaurants spécialisés dans les plats typiques et la cuisine traditionnelle du Québec.
A Montréal : Restaurant Mâche, 1655 rue St-Denis (au coeur du quartier Latin)
A Montréal : La Binerie Mont-Royal, 367 avenue Mont-Royal Est
A Québec : Aux Anciens Canadiens, 34 rue St-Louis, à 2 pas du Château Frontenac
5. La soupe aux pois
Voici un grand classique de la cuisine québécoise : la soupe aux pois ! Elle « pèse lourd » dans notre histoire culinaire parce qu’elle était déjà présente au début de la colonie. Les premiers colons du 17ème siècle en mangeaient pour survivre à l’hiver. Aujourd’hui, on la mange surtout pour le plaisir (même si elle nous aide à supporter la froidure avec son apport calorique). La soupe aux pois, c’est bon et ça fait du bien !
Des pois jaunes entiers, du lard, des oignons, des carottes, du céleri et des herbes, voilà pour les ingrédients de base. Il existe de nombreuses recettes faciles à réaliser et je vous invite à essayer celle de Ricardo, un chef populaire au Québec. Voici sa recette de la soupe aux pois.
Fait intéressant : les Anglais (Canadiens) ont longtemps donné le surnom de « pea soup » aux Canadiens Français, parce qu’ils pouvaient travailler des jours entiers juste en mangeant de la soupe aux pois ! Il y a une véritable tradition d’hommes forts au Québec (Louis Cyr, l’homme le plus fort du monde, ou encore Jos Montferrand, le bûcheron herculéen, pour ne citer que les plus connus). Leur force viendrait-elle de la soupe aux pois ?
Où manger une soupe aux pois ?
Dans n’importe quelle cabane à sucre, car la soupe aux pois est, elle aussi, toujours au menu de cabane.
A Montréal, une adresse s’impose : La Binerie Mont-Royal, 367 avenue Mont-Royal Est
6. La smoked meat

Sandwich à la viande fumée de chez Schwartz
Voilà une spécialité typiquement montréalaise, le sandwich à la viande fumée. Ce plat populaire est un incontournable lors de votre séjour dans la grande métropole.
C’est de la viande de boeuf, de la pointe de poitrine de boeuf pour être précis (brisket en anglais). Ce plat est servi sous la forme d’un sandwich composé de pain de seigle et d’une bonne épaisseur de tranches de viande, accompagné d’une salade chou, de frites, et de cornichons et autres condiments.
On peut remercier les immigrants juifs de l’Europe de l’Est qui, au 19ème siècle, ont apporté la recette de ce plat délicieux.
Où manger un sandwich de smoked meat ?
A Montréal, sinon ça ne compte pas.
Chez Schwartz, 3895 boulevard St-Laurent (une rue à découvrir). C’est l’Institution montréalaise depuis 1928. Réputation fondée. En plus, la célèbre enseigne a été rachetée par notre Céline nationale. Avec un peu de chance, vous pourriez vous faire payer la traite si Céline passe le jour où vous y êtes (c’est déjà arrivé !)
Main Deli Steak House, 3864 boulevard St-Laurent. Certains disent (comme le 1er ministre du Canada, Justin Trudeau), que c’est la meilleure adresse en ville. Vous pourrez vous décider sur place, c’est juste en face de Chez Schwartz.
Chez Reuben’s, 1116 rue Ste-Catherine ouest. Idéalement situé au coeur du centre ville (donc pratique quand on est en visite peu de temps). La smoked meat est très bonne, le service et la déco, sympas.
7. Le bagel

Bagels de chez Fairmount Bagel
J’ai vraiment découvert les bagels, l’année où j’ai déménagé juste au coin d’une des 2 meilleures adresses à Montréal. J’en ai donc mangé souvent, très souvent !
Le bagel est un petit pain rond avec un trou au milieu. Sa pâte, cuite au four à bois, est moelleuse avec un petit goût inimitable.
Comment le mange-t-on ? Nature et encore tout chaud, juste sorti du four. C’est tout simple mais toujours bon. Il y a aussi la façon traditionnelle qui consiste à tartiner du fromage à la crème (cream cheese) et d’y ajouter du saumon fumé (qui peut aussi être sous forme de tartinade).
Et le bagel étant un petit pain, les possibilités sont infinies… Tiens, je vous livre ma version du bagel au petit-déjeuner lorsque j’ai des invités à la maison.
Prenez un bagel, coupez-le en 2 et passez-le au grille-pain. Sur une des moitiés, déposez une belle tranche de jambon fumé à l’érable + 2 tranches de tomates + un généreux morceau de cheddar vieilli (du comté ira très bien aussi). Enfin, ajoutez un oeuf sur le plat (ou 2 oeufs si votre invité est un ogre). Succès garanti…
Et soyons clairs : c’est à Montréal qu’on fait les meilleurs bagels d’Amérique ! C’est connu, il n’y a même pas de débat à avoir (sorry amis New-Yorkais !). Et on dit encore merci aux immigrants juifs de l’Europe de l’Est du 19ème siècle qui ont apporté avec eux ce petit pain du bonheur.
Où acheter des bagels à Montréal ?
Fairmount Bagel, 74 rue Fairmount Ouest
St-Viateur Bagel, 263 St-Viateur Ouest
Vous avez toujours faim ?
Alors, suivez-moi du côté des spécialités qui viennent du large, vos papilles gustatives apprécieront…
8. Les crevettes de Matane (ou crevettes nordiques)
Si comme moi, vous êtes amateur de crevettes, je vous garantis que vous adorerez les crevettes de Matane, appelées aussi crevettes nordiques.
Cette petite crevette à la chair tendre et savoureuse est prélevée directement dans les eaux froides du golfe du St-Laurent. Les crevettes nordiques sont donc sauvages, ce qui les rend meilleures que les crevettes importées d’Asie… (nourries avec des cochonneries)…
Surnommées crevettes de Matane (en Gaspésie), elles sont en fait pêchées au large de Sept-Îles (Côte-Nord), sur la rive nord du Saint-Laurent. Mais c’est à Matane que se trouve l’usine de transformation. Je vous le précise au cas où vous auriez une conversation avec un habitant du coin sur la façon correcte de nommer ce divin crustacé…
Où manger des crevettes de Matane ?
Toute l’année dans les poissonneries et supermarchés (facile et pratique pour un pique-nique). La saison de la pêche débute avec le mois d’avril et se termine à la fin décembre.
9. Le homard de la Gaspésie et des îles de la Madeleine
Il est impossible de passer à côté de cette spécialité du Québec. Surtout quand on sait que le homard québécois est un sérieux prétendant au titre de meilleur homard du monde ! (exagère-je ?… pas facile à lire hein 😉
Il faut dire que nos voisins des autres provinces canadiennes et les Américains sont de sérieux concurrents, alors on peut aller aussi dans les provinces maritimes sur la façade atlantique pour manger un bon homard.
Au Québec, la saison de la pêche commence vers à la fin avril, début mai, pour se terminer 2 mois plus tard environ.
Où manger un homard québécois ?
Si vous êtes en voyage en juin et juillet, vous trouverez facilement du homard dans les restaurants, ou encore dans les poissonneries/pêcheries. Autrement, une bonne alternative (très pratique pour un pique-nique quand on est vacancier), c’est d’aller dans les supermarchés ! Vous choisissez votre homard vivant dans le vivier. On vous le cuit, on le précoupe, il ne reste plus qu’à récupérer la petite boîte avec le roi des mers (ce service est gratuit). Et le prix ? Aux meilleures dates, on trouve des prix vraiment intéressants pour le homard du Québec : environ 10 $ pour un homard d’un livre 1/4 (à ce prix là, les gourmets en mangent 2 forcément…)
A essayer également, la guédille au homard, spécialité gaspésienne, composée d’un pain à hot dog dans lequel on retrouve de la chair de homard, céleri, ciboulettes, citron et mayonnaise, pour la recette classique.
Vous avez la dent sucrée ?
Alors, faisons monter le désir avec quelques desserts cochons (comprendre gourmands) parmi les plus emblématiques du Québec.
10. Le pudding chômeur
C’est LE grand classique des desserts québécois. Avec un nom pareil, impossible d’éviter la question de son origine… Ce dessert est bien baptisé puisqu’il a été justement inventé à l’époque de la Grande Crise de 1929, période durant laquelle les chômeurs étaient nombreux.
Avec un peu de farine, du lait, du beurre et de la cassonade, on obtenait un dessert économique et délectable. Facile à faire. Succès populaire jamais démenti.
Pour les amateurs de crème glacée (comprendre glace), servir le pudding chômeur avec une boule de glace à la vanille est une étape de plus vers le ravissement. On peut aussi ajouter une grosse cuillère de sirop d’érable, évidemment.
Où manger un pudding chômeur ?
Chez les gens, car il y a toujours une part de pudding chômeur dans un coin de la cuisine. Dans certaines cabanes à sucres et restaurants.
1 1. La queue de castor

Queue de Castor de chez Beaver Tails
Dessert original ! C’est un genre de beignet plat en forme de queue de castor. La pâte est moelleuse et assez ferme, idéale donc pour y étaler… du chocolat, sucre, sirop d’érable, confitures et autres tartinades de votre choix (je conseille le duo Nutella-bananes, et ensuite d’aller marcher 3 heures…)
Si vous allez à Ottawa ou ailleurs dans les provinces anglophones, vous retrouverez cette pâtisserie sous le nom de Beaver Tails (queue de castor).
Où manger une queue de castor ?
A Montréal, dans le quartier du Vieux-Port, au 2 rue de la commune Ouest, à deux pas de la place Jacques Cartier.
1 2. La tire d’érable (ou tire sur la neige)
C’est du sirop d’érable qu’on fait bouillir plus longtemps pour concentrer encore un peu plus les sucres et le rendre un peu moins liquide que du sirop. On verse ensuite la tire chaude sur la neige pour qu’elle refroidisse et se durcisse un peu.
Dernière étape, on prend un petit bâtonnet de bois autour duquel la tire va s’accrocher et s’enrouler pour former ce qu’on appelle un « suçon à l’érable » (comprendre sucette). C’est la friandise qui termine le repas de cabane à sucre. On la mange dehors, c’est l’ultime récompense des becs sucrés…
Où manger de la tire d’érable ?
Dans une cabane à sucre.
A Montréal : Aux Délices de l’érable, 84 rue St-Paul, dans le Vieux Montréal
A Québec : Aux Délices de l’érable, 1044 rue St-Jean, dans le Vieux Québec
Ces 2 adresses sont plus que des magasins, on y trouve également sur place un petit centre d’interprétation pour en apprendre sur le sirop d’érable et sa fabrication. Et naturellement, on peut acheter toute sorte de produits de l’érable, de la glace, du sirop, des bonbons, biscuits…
Article à (re)découvrir sur Les produits du terroir du Québec dans votre assiette.
Conclusion
Voilà pour ce tour de table des spécialités culinaires du Québec. Vous avez encore faim ? Rassurez-vous, si votre appétit est aussi grand que le Canada, vous n’avez pas fini de manger !
En effet, nous avons seulement goûté à quelques-unes des spécialités du Québec (il y en a bien d’autres), et je n’ai même pas évoqué les fromages du Québec (l’autre pays du fromage) qui mériteraient à eux seuls une longue présentation…
Et il reste encore à découvrir les spécialités culinaires du Canada anglais, les spécialités des Premières Nations, les spécialités à boire, etc… Bref, autant de pistes alléchantes à suivre lors d’un prochain article !
Et de votre côté, avez-vous goûté à une spécialité qui mériterait d’être partagée ?
Je quitte la table avec une citation de très bon goût d’un certain Théodore Zeldin, qui disait :
« La gastronomie est l’art d’utiliser la nourriture pour créer le bonheur »
Stéphane Le Guide
« Sur les routes et chemins, au pays des grands espaces »
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Contactez-moi à : stef@www.parcourscanada.com
10 Commentaires
Je viens de découvrir votre blogue très intéressant, merci pour vos articles, on apprend beaucoup et c’est bien écrit.
Je projette de venir en famille l’été prochain (fin juin) pour faire un circuit au Québec et au nouveau Brunswick,
et on m’a dit qu’il fallait goûter au crabe des neiges, que c’était encore meilleur que le homard, qu’en est-il selon vous ?
Mille mercis pour votre réponse !
Laurence
Bonjour Laurence,
Merci pour votre commentaire ! Je vous le confirme, le crabe des neiges, c’est délicieux ! (je pense même que je devrais l’ajouter à cet article).
Quant à savoir si c’est meilleur que le homard, c’est une question de goût, mais c’est vrai que sa chair est plus fine et plus délicate. De plus, il arrive dans nos poissonneries avant le homard car la pêche commence au mois d’avril. Alors, oui, il faut absolument goûter au crabe des neiges ! Et vous êtes chanceuse, les occasions seront nombreuses lors de votre futur périple au Québec et Nouveau Brunswick. Vous allez vous régaler !
Bonjour
Fan du Canada depuis quelques années maintenant , je suis aussi fan de la Croustille aux Pommes, un délice de gourmandise !! nous avons à nouveau l’occasion de venir se sucrer le bec par chez vous en Mars :-))))))
à toute
Bonjour Annick,
Ah oui, la croustille aux pommes c’est délicieux ! Et j’aime aussi la croustade aux pommes, miam ! Gourmandise, quand tu nous tiens…
https://www.ricardocuisine.com/recettes/3655-croustade-aux-pommes
Stéphane-qui-se-lèche-les-babines 😉
C’est quoi, ça, la croustille aux pommes, comme spécialité québécoise ? Ou bien c’était de l’ironie ?
Bonjour Soshana !
Il s’agit bien d’une spécialité ! La recette partagée par Stéphane : https://www.ricardocuisine.com/recettes/3655-croustade-aux-pommes.
Bone journée,
Justine
Merci beaucoup on as réussi notre anglais grace à toi mon gars surrrrr! Très très intéressant surtout la bonne queue de castor qui a l’air très bonne . Bonne journée
Merci pour votre blog qui me fait découvrir les super plats de la cuisine canadienne. J’en suis un fan.
Quel est la recette de la queue de castor s’il vous plait ?
Bonjour Emerick,
C’est une recette qui s’apparente assez à celle d’un beignet, à la différence que les queues de castor sont plates.
Nous adorons cette recette car elle est personnalisable à l’infini selon les goûts de chacun. On peut aussi bien y mettre une garniture au nutella, qu’une à la cannelle ou encore à l’érable (notre petit pêché mignon) :).
Vous trouverez beaucoup de recettes sur internet, mais c’est celle-ci que toute l’équipe préfère :
https://ici.radio-canada.ca/mordu/recettes/230/queues-castor
On espère que vous adorerez cette recette tout autant que nous. On attend votre retour avec impatience !
À bientôt !